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  • : A sort of slapstick dreams are made of
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23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 15:53

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17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 11:36
Hey, hey, mama, said the way you move
-Fuir la spirale-Ü-

Rien à dire en ce moment, la poisse, comme si un chien noir avait traversé mon blog.

@Marie-Georges : Soit patiente avec moi. Ü
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13 décembre 2008 6 13 /12 /décembre /2008 12:31
Il faut absolument que je trouve quelquechose à écrire pour ce week-end. Un nouvel article a poster. Si je ne le fais pas maintenant ça reporte à lundi ou mardi, vu que le week-end, ça poste pas bezef. Et si je racontais ma semaine ?
Disons au moins les choses marquantes qui me sont arrivées. Bah allons-y après tout, comme dit Bowie, nos verrons bien.
Alors lundi, j'ai pris l'avion, le vol jusqu'à Lisbonne s'est passé sans encombres. Rien de spécial donc.
Mardi, mardi j'ai bossé...le soir j'ai giflé le fils de la voisine pour qu'il me rende ma pipe à opium..ce que du coup il a fait fissa le fils d'arsouille...voilà...rien de marquant non plus.
Mercredi...mince, je ne me rappelle plus de ce que j'ai fait mercredi...mmmm...Ah oui! Ca y est, en rentrant de la Tour d'Argent un peu éméché j'ai uriné sur la comtesse Patricia de Schtouffnik Montespan. Ah dis donc la tronche qu'elle tirait la rombière...
Voilà pour mercredi, passons au jeudi. Ah, jeudi. Je revu une ancienne amie dans l'après-midi et Lost in translation dans la soirée. Ca me fait toujours autant d'effet. Extraordinaire!  Bien sûr vous ne pouvez pas comprendre vu que vous ne la connaissez pas, mais si vous avez vu Lost in translation vous voyez ce que je signifie. La scène de fin, quand -enfin enfin enfin!- elle pose sa tête sur son épaule et qu'il lui touche les cheveux. Il ne s'est rien passé dans tout le film entre deux pour qu'il puisse se passer ça, ce moment unique dans une vie. Et encore pas toutes. Ah oui vraiment j'ai aimé ce jeudi.
Puis vendredi, alors complétement banal et routinier, l'avion avait du retard, j'ai discuté briévement de choses inintéressantes avec Woody Allen avant de déjeuner avec Ethan Cohen qui n'a pas beaucoup de conversation en fait. Et nous y voilà, samedi, j'écris cet article qui fait ce qu'il peut et la blouque est blouquée.
Bon week-end.

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12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 12:19



La photo originale est de Frogdot. Merci à lui.
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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 13:49

Moi ce que j'aimais lire quand j'étais plus jeune, c'était des romans d'anticipation. Des trucs bien flippants et hyper technologiques. Cyber flics , cyber clébarts, cyber nichons. C'est bien simple, toute la société était cybernétique. Et vas-y que je te cliques, et je t'envoie mon flux électronique, et je t'upload le fichier de ma tante. Ah ça on peut dire que ça cliquaillait vraiment de partout dans mes bouquins; même le Sylvain le boucher de la rue Linux touchait plus à sa viande. Il suffisait qu'il regarde intensément un petit boîtier noir pour que soient numérisées ses pensées et qu'apparaisse sur la neutro-balance un beau rosbeef de 600 grammes qui allait ravir toutes la famille en ce beau dimanche nucléaire d'avril 2017. C'était une société idéale où tous les problèmes avaient trouvé leur solution. Plus de microbes, plus de pauvres, plus de travail, plus de guerre, un monde idyllique dirigé du haut d'une gigantesque tour par un ensemble de processeurs programmés pour respecter les Lois des Robots d'Asymov et ainsi mener l'humanité d'une voix fluttée quasi orgasmique jusqu'au nirvana social. Et ça roulait comme ça, des hologrammes gigantesques diffusaient les images des meetings des dirigeants GYGAX, ceux là même qui avaient programmé les droïdes régisseurs du bonheur humain ; on assistait à un déferlement d'enthousiasme de la part d'une foule toujours plus nombreuse et toujours plus prompte à scander GYGAX! GYGAX!
Ainsi, si l'on exceptait quelques vieux sous-drônes libidineux qui s'ouvraient le capot devant d'antiques radiateurs à bain d'huile, partout dans les Mégacitopolis régnait la douceur de vivre ; un mode de vie parfait et sans vices où les enfants pouvaient enfin courir dans les parcs en se régalant de bonbons Vertèbres sans risquer autre chose que de voir leurs lèvres se gercer de tant de sourires.
Jusqu'à la putain de page 217. Là, en général, un petit truc de rien du tout, un demi grain de sable rachitique, un rebel douze des déchetteries se mettait à semer la zone. Un de ces humain mal formaté aux cheveux drus qui habitait dans les angles tranchants des cités exilées, dans ces villes rebuts où la loi faisait rire et grincer quelques dents sur le ciment, là où le gouvernement envoyait comme au bagne les esprits retors à toute forme de civilisation s'enrhumer aux vents pestilentiels des pôles de retraitement organiques, à jamais condamnés à ne pas être heureux et sentir le rognon. Les vils.
A partir de là, tout partait en couille. Les anomalies séquentielles postulaient à la multiplication, des chimères oniriques se mettaient à mordre leur propriétaire, un enfant se trouvait foudroyé en classe d'avoir simplement levé le bras pour répondre à sa gentille maîtresse un jour d'orage, son autopsie révélant un taux de broxyde de smoul 10 fois supérieur à la norme - on découvre aussi que le broxyde de smoul est utilisé en loucedé pour la fabrication des bonbons Vertèbres. Ca déconne sévère de partout dans les cités et les cybers GygaCops, stressés qu'ils sont par la zone qu'a mis le rebel aux cheveux drus et sa bande se mettent à arrêter et cogner sur tout ce qui bouge. A un moment même sur le trottoir y a une petite vieille qui veut leur donner des bonbons Vertèbres pour leur souhaiter bon courage dans leur mission de pacification et ils la déglinguent comme une vieille flaque. La scène se passe devant les yeux humides du Rebel XII et de sa bande qui jure de tout faire pour de changer ce monde sans âme et venger la petite vieille.
La fin du bouquin devenait de plus en plus flippante, les autorités SupraNationales mettant tout en oeuvre, massacres de grosses femmes, sacrifices de pauvres cons, lobotomies payantes, pour restaurer le bonheur enfui par la faute de ces gens imparfaits, sales pauvres et ingrats
-"Mais palsambleu Virginie, que veulent-ils que nous ne leur donnons pas ?!" s'exclama le Gouverneur en proie au doute.
J'avais quatorze ans et je sortais souvent de ces bouquins avec le cerveau en sueur, les neurones moites, et la sensation d'un malaise quasi palpable, comme si j'avais une paroi de métal dans la tête qui m'empêchait de penser librement. Je regardais alors à la fenêtre histoire de me rassurer, de voir que ma rue était toujours pareille, pas d'HéliScooter, pas de VideoDelator, pas de GygaCops avec leur Pulsar et leur clébarts GygaDobs, seulement Pascal sur son 102 et Monsieur Maes qui traîne son vieux lévrier pas encore mort.
C'est dans ces moments là que j'adorais que ma mère m'appelle pour venir manger, j'oubliais illico mon angoisse futuriste et je revenais soulagé dans cette réalité imparfaite qui, peux-tu le croire, laissait des fils dans la soupe aux légumes.
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 12:37

Je voudrais vous dire quelque chose, enfin j'ai remarqué quelque chose et je voudrais vous en parler.
Maintenant que j'y pense je m'aperçois que ce n'est peut-être pas tellement le moment, ce n'est pas aussi important que cela.
Enfin je ne voudrais pas abuser, comment dire ce n'est pas quelque chose de fondamental, rien de crucial, ça ne va rien changer pour vous.
Je me trouve un peu gêné maintenant de vous en avoir parlé, je me demande si ce ne serait pas mieux pour tout le monde qu'on oublie et qu'on passe à autre chose.
Enfin bon, puisque vous êtes là, autant ne pas vous avoir dérangé pour rien, autant que je vous le dise et comme ça après on en parlera plus.
Bon alors voilà, j'ai réfléchi il me semble que peut-être, enfin je crois, je crois que je gagnerais à me désinhiber.

Bah laissez tomber c'est rien. Je m'excuse.

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 14:17

27 novembre, c'est jeudi et c'est vraiment un jour pourri.
Je ne sais pas chez vous mais alors ici...L'Irlande un jour de deuil...
...Les portes disjointes laissent le vent lugubre s'engouffrer au travers des longs corridors, qui chante la mort et la misère, un requiem, la condition humaine. Un jour à se pendre avec ses propres tripes. Un jour à se pendre nu à sa propre vergogne, tellement honteux d'avoir osé exister en pareil endroit.
Mouais.
A moins que nu je ne me pende à ton cou et que sans vergogne te demande de rester couchée là cet après-midi dans ces draps ?
Oui. On va faire ça. C'est mieux.

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 15:33

Bonjour,

Je suis Maximus Bob2bob et j'ai un problème à vous soumettre.

-"Haan ...Oh oui Maxime, toi soumettre moi..."

-"Pas tout suite Chiquita, toi laisser moi résoudre."

-"Moi pas Chiquita, moi Niquita Nazdrovie, chienne de l'Oural. Maxime perdre boule."

-"Bon on peut y aller Pamela là ? Et arrête de m'appeller Maxime ça  me crispe là."

Alors voilà, admettons que mon nom de famille soit "Shtaf". Ce nom est ridicule certes merci, mais surtout, il est composé de cinq caractères ; et voici ma question :

Combien y-a-t-il de chances que ce nom de cinq caractères apparaisse dans un captcha généré de façon aléatoire ? Ou algébrique ? Sais plus...Les deux non ? Oui enfin chipotez pas, vos voyez le topo ? Vous n'étes pas sans savoir que le captcha est une forme de test de Turing permettant de différencier de manière automatisée un utilisateur humain d'un ordinateur. Alors, d'après vous, combien de possibilités que le sort me demande d'entrer mon nom de famille de cinq caractères pour, par exemple, valider un super commentaire sur votre blog? Hein ? Allez, je vais aller boire une bière avec Patricia et je reviens ramasser les copies. Et encore une fois concentrez-vous, ça compte pour la moyenne.

Bonsoir.

 

NDLR : En fait ce truc m'est réellement arrivé et m'a sidéré. Moi qui n'ai JAMAIS JAMAIS JAMAIS JAMAIS de chance à la loterie, tombola ou autre tirage au sort, moi qui perd toujours et qui ne gagnerai jamais la machine à pop corn, il a fallu que ça me tombe dessus. Mon nom de famille dans un captcha. Doit-y avoir une chance sur un millions. Un truc de dingue, une chance énorme, incroyable, improbable ; mais aussi impitoyable gratuite et pitoyable. Inutile et presque ridicule puisque sans le gros lot qui va avec. Un peu comme trouver dans son jardin une valise pleine de billets de 500 francs périmés. Si c'est pas la misère ça ? Enfin bref, j'ai envie malgré tout de chiffrer mon désespoir, alors si pour vous les maths c'est du beurre à lécher, ou si vous êtes en CM2, n'hésitez pas, aidez-moi.

Merci.

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 15:29

Personne dehors. Le froid a cloué les portes.
Ne pas se découvrir. Chemise froissée, hirsute la bouche ouverte,
je comate sous la couette, je dors je lis je dors.
La nuit tombe, le jour meurt et pendant que je rêve à l'été,
son service terminé la femme de chambre rentre chez elle.
J'ai fini mon livre, je cligne des yeux et referme la bouche.
La neige se pose sur l'aéroport, l'hiver est revenu.

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 15:10

http://www.500-livres.com/

C'est ici. http://www.500-livres.com/

Chacun vote pour 10 livres et au final un classement des 500 meilleurs livres de tous les temps.
Même si on est daccord, les classements c'est naze et ça sent le fichier. OK.
Mais peut être peut-on y voir là une occasion régalante de se remémorer ce qu'on a lu qui vaille non ?
Bof allez, soyez joueurs. Ben si quoi. C'est bientôt Noêl et bonne année, on se détend.
Alors voyons voir...
Le Maître et Marguerite ?
Martin Eden ?
Echine?
Jean-Paul BarreFixe se tape une allemande ?
Mon chien stupide?
Voyage au bout de la nuit
L'épopée du buveur d'eau?
Le seigneurs de anneaux ?
La vitesse foudroyante du passé ?
Les cavaliers ?
Lunar park ?
La guerre des boutons ?

L'attrape coeur ?

Le loup mongol ? (merci Chris de Neyr)

L'insoutenable légéreté de l'être ?

Lolita ?

Cavalerie rouge ?

To be continued...



Hmmm, c'pô facile tsé.
Si vous le voulez bien je vais aller boire une bière et on en reparle après.
A toute.

NDLR : je sens bien qu'au fur et à mesure je vais enrichir la liste...
Tiens! Ca rate pas je viens de le faire, j'avais oublié Brett Easton Ellis dis donc...

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